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The Doors of 21st Century, Zenith de Paris, 9 Décembre 2003



En ce mardi 9 décembre 2003, deux semaines avant mon anniversaire, j'ai reçu le plus beau de tout les cadeaux. Et une véritable surprise. Les Doors, le groupe que j'ai découvert durant mes années lycée, se sont partiellement reformés et se donne en spéctacle ce soir. Un évenement. Un miracle aussi. Décidé à y aller tout seul, j'avais finalement renoncé vu le pris exhorbitant des places. 55 euros, pour un jeune travailleur comme moi, c'est la fin du monde. Puis, un pote, rencontré quelques semaines avant dans un bistro, me dit avec regret qu'il ne pouvait aller au concert à cause de ses études et qu'il me revendait ses places.
Petit moment de reflection, et c'est parti, j'achetais les deux places pour une somme modique. Je ne reverrai jamais cet "ami", certainnement trop dégouté.
Je proposait donc, à mon père de m'accompagné voir l'un de ces groupes qui avait bercé son adolescence. Et c'est sans surprise qu'il accepta.
Aprés pas mal de circulatuion (décidement, je n'aime pas Paris...), nous arrivâmes aux portes du Zenith.
Nous entrâmes dans la salle, aprés une lègére fouille . Pas de places attitrées, mais dans la fosse, qui commençait à se remplir. Ce sera complet.
Il n'y aura pas de première partie, et nous commençons dans le vif du sujet.
Sur la scène, l'orgue de Ray sera à gauche et la guitare de Robby à droite. Un écran géant en plein milieu de la scène ne diffusera pas les imges du concert mais des images psychédelique de mousse, de bulles, comme à la belle époque.
C'est au son de "Carmina Burana" que entre les nouveau Doors débarque enfin (et aprés pas mal de retard).
Et les pétards s'allument dans le public. Ils ne sont plus que la moitié mais c'est suffisant pour tout les fans qui n'attendaient que ça. Ray Manzareck et Robby Krieger font donc leurs entrées, suivi de Ian Asbury, ex-chanteur du groupe The Cult et sosie de Jim.
La première chanson sera, comme sur les lives de la belles époque, Roadhouse Blues. Robby est Ray n'on rien perdu, cà c'est sur, mais le choix des autres musiciens est plutôt étrange. La basse est plutot en sourdine et le batteur n'a pas le même doigté de Densmore, toujours vivant mais absent pour cause de procés. Ian, imitte à la perfection Jim Morrison aprés quelques années. Mais c'est plutôt dérengeant. On aurai tellement préféré que le chanteur soit lui même et ne fasse pas un boulot de sosie. Il manque d'authenticité, de personnalité.
Le groupe enchaine les tubes, superbement interpreté et entrecoupé de solos plus ou moins reussit. Break on Through, Love me two Times, When the Music's Over. Toutes les chansons des differents Best of sont la. Une début de set list sans surprise... c'est exactement ce que nous voulions. Aprés la partie Best Of, dont le génial People are Strange, le mélancholique Crystal Ship et le splendide Spanish Caravan, le groupe prendra un virage que personne avait vu venir. L'interpretation en entier de leur dernier album (avec Jim au chant) L.A Woman. L'atmosphere devient plus lourde, les solos plus long. Il fait une chaleur à crevé dans la salle, qui contraste avec le froid de l'exterieur. Aucune des chansons ne sera oubliés. Pas même l'envoutant Riders on the storm, bien mieux sur l'album qu'en live.
Le groupe, nous quittera aprés ce titre, heureux d'avoir livré un pareil concert, devant des fans emerveillé.
Il reviendra bien vite pour le rappel, Moonlight Drive, du deuxième album. Ian est habillé d'un maillot de l'équipe france de Foot avec le numéro 60 dans le dos. L'age que Jim aurait eu la vieille. Ca me fait doucement rigoler de voir ce chanteur ainsi vétu, mais bon, passons! Autour de moi, c'est la cohue. Tout le monde essaie de se rapprocher de la scène pour profiter du Rappels. Nous aront droit, ensuite, à Wild Chil, chanson du premier album, qui reflete bien la personnalité du feu chanteur. Puis le groupe s'éclipse. Tout le monde se doute qu'ils reveindrons, pour la chanson que tout le monde attend. Le phénoménal Light my Fire, retentira quelques secondes plus tard. Le public hurle. C'est un trés gand moment qui se passe. Trop court malheureusement (malgrés deux bons gros solos). Un trés grand moment que je ne pensait jamais voir.
Le groupe part de scène, heureux. Les lumières se rallumes et le public commence à sortir. Doucement. Tout le monde se raconte le concert. Des milliers de sourires sur le visages de jeunos de 20 ans, comme moi.
Puis des hurlement retentissent alors que nous nous dirigeons vers la sortie. Le groupe est revenu. Nous auront droit à un troisième rappel. "Soul Kitchen"
Chanson anecdotique du premier album, mais on ne se lasse pas de leurs présences sur scêne.
Le groupe repartira sous un tonerre d'applaudissement, aprés trois heures de concert.
Ils ne reviendrons plus.
Mon père semble ravi. Moi aussi, même si le show d'Asbury manquait vraiment d'authenticité.


The Doors of 21st century:



Robby Krieger - guitare,chant
Ray Manzarek - clavier, chant
Ian Astbury - chant
Angelo Barbera - basse
Ty Dennis - batterie

Roadhouse Blues
Break On Through
Love Me Two Times
When The Music's Over
Alabama Song
Back Door Man
Five To One
People Are Strange
The Crystal Ship
Spanish Caravan
The Changeling
Love Her Madly
Been Down So Long
Cars Hiss By My Window
L'America
Riders On The Storm
Hyacinth House
Crawling King Snake
Texas Radio and the Big Beat
L.A. Woman

Rappel 1 :

Moonlight Drive
Wild Child

Rappel 2 :

Light My Fire

Rappel3:

Soul Kitchen

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