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Rolling Stone, Stade de France, 28 Juillet 2006




28 juillet 2006, le miracle a enfin eu lieu. Prévu debut juin de cette année, annulé puis reporté, la tournée des stones "A Bigger Bang Tour", restera dans les annales avec la chute et l'hospitalisation de Keith Richards, tombé d'un cocotier Néo-Zélandais. Finalement, avec plus d'un mois de retard, le groupe investie le Stade de France, ou 60000 fans les attendent de pied ferme. Il est donc 18 heures qand nous arrivons dans l'enceinte du stade. Ce soir, nous somme dans les gradins, façe à la scène. Dommage, nos anciennes places moins couteuse étaient plus interessantes.
Bref, ce soir, je suis avec mon beau père (et oui, on a eu le même cadeau de noël), fan de rock n'ayant encore, jamais vu les Stones, alors que nos femmes, quant à elle, font les boutiques Parisiennes.
Le stade est déja bien remplis et nous éclatons de rire en voyant un cocotier en plastique circuler dans la fosse.
19H30, la première partie commence. Les Stones qui nous avaient habituiés à de préstigieuses premières parties, nous on un peu, voir carrémént déçus. Les Razorlight sont quatre minos, menés par le charismatique Johnny Borrell. Ceux-ci entrent en scène et nous jourons leurs compos interessantes. Rien de bien original, mais pas déplaisant; La voix du chanteur est plutôt sympa et les titres se retiennent façilement. Le groupe interpretera un grand nombre de titres de leur unique album puis se retirerons, sous les applaudissements mitigés de la foule.
L'attente commence alors. Nous buvons une bière, puis deux, mais vu le prix (6.50 euros), nous nous calmons rapidement.
Le temps passe lentement, nous observons chaque fait et geste vennant de la scène. Celle-ci est d'ailleurs composée d'une éspece de grand échaffaudage sité dans le fond. Il sagit en faite d'une tribune placée derrière la scène, reservée aux VIP et gagants de concours (Depuis notre place, on ne voit que des nanas, étrange non?).
Puis la délivrance arrive enfin. 21 Heures et des bouettes, les lumières s'eteignnt et les riffs de "Jumpin' Jack Flash" nous éccorche les oreilles. "Mieux vaut tard que jamais", nous dit Mick, avant d'entamer la chanson. Ils sont tous la. Mick, l'eternel ado qui sautille comme un jeune homme. Keith, l'homme qui défit la mort, la cigarette au bec. Le discret Charlie, qui a vaincut son cancer, et Ron, l'eternel remplaçant qui fait presque oublier ses prédécesseurs. Tous sont en forme et sa se voit. Le public exulte.
Deux écrans géants sont placés des deux cotés de la scène. Heureusement, car de notre place, nous ne voyons que des petites fourmie habillé de cuire et de paillettes.
"It's only rock'n'roll (but I like it)", autre grand classique de la période Mick Taylor s'ensuit.
Personnellement, je suis plutôt fan de la période Brian John et j'aime beaucoup les 5 albums avec Mick Taylor. D'ailleurs, je suis ici est ésperant que la setlist sera principalement composé de vieux hit 1965-1974. Ca commence plutôt bien.
La chansons suivante "Oh No, Not You Again", est tiré de leur nouvel album, que je n'ai eu le loisir d'écouter. Une chanson dans la pur veine des stone, y'a pas de doute. Puis se sera "She's so cold", titre anecdotique d'un album anecdotique sorti en 80.
Tout au long du concert, les classiques se mélangeront à de nouveau titres et à des titres des "Eighties". Des moment de pur rock'n roll, succedant à des moment de rock un peu ringard. "Tumbling Dice" fameux titre d'"Exile on Main Street" et le mélancholique "As tears Go By" du méconnus December's Children sont de pur merveille." Street of love", du dernier album, a le seul interet de voir Mick à la guitare. Puis se sera l'explosion avec "Midnight Rambler", avec Mick à l'harmonica.
"Night time (Is The Right Time)", écrit par Mick et Keith en 1964 pour Marianne Faithfull, suivi de la presentation des membres du groupe, et de la dixaine de musiciens derrière eux qui assurent grave. Le public donnera de la voix lors de la présentation de Keith, lequel est visiblement surpris et ravi.
Le public est chaud bouilland, mais se calmera vite avec l'interpretation de deux titres par Keith Richards. Surprise. Le guitariste est aussi est trés bon chanteur. Sa voix rocailleuse, abimé par 40 ans d'exées, nous balance l'un des titres du dernier album puis "Before They Make Me Run", écrit en 1978. Sublime. Puis le groupe se retrouve de nouveau au complet et alors que "Miss You" débute, le chanteur empoigne sa guitare et le morceau de la scène ou se trouve nos quatre musiciens (ainsi que Daryl Jones, le bassiste) s'avance dans le public. La scène mobile s'avance doucement et de notre place, nous pouvons enfin distinger les traits des musiciens.
Une bouche aguicheuse d'ou sort une langue qui ne l'est pas moins est alors gonflé sur la première scène.
Quatre chansons sur ce petit îlot perdu dans la foule. "Rough Justice", le fameux "Start me Up" et, alors que la scène mobile recule et rejoind la première scene "Honky Tonk Women ". Les vieux titre qui m'on tant fait aimer les Stones sont bien là, mais bien caché. Le bouquet final sera l'interpresation des 3 plus grands classics "Sympathy For The devil", l'immortel "Paint It Black" qui fête ces 40 ans et "Brown Sugar".
Un vague aurevoir de la main, un vague salut et les musiciens s'eclipse.
Il reviendra quelques minutes plus tard, alors que les fans s'échauffent sérieusement.
Deux rappel seront joués ce soir, comme tout les soirs de cette tournée, sans doute. "You Can't Always Get What You Want tiré de Let It Bleed" et l'hymne des stones "Satisfaction". Les musiciens nous salut, plus chaleureusement, faisant l'accolade, puis repartent et tout le monde attend.
Des feu d'artifice éclate sur scène et on s'attend à avoir un ch'ti dernier rappel, mais non, ils son bel et bien partis.
Nous repartons donc, rejoindre nos femme et nos foyer, contant d'avoir vu les Stones mais, bien sur, déçu de ne pas avoir entendu plus, beaucoup plus de morceau comme "Play with Fire", "Under my Thumb" ou "Get Off my Cloud".

Razorlight:

Johnny Borrell
Björn Ågren
Carl Dalemo
Andy Burrows


Rolling Stones

Mick Jagger (chant, guitare)
Keith Richards (guitare)
Ron Wood (guitare)
Charlie Watts (batterie)


Darryl Jones (Bass)
Chuck Leavell (Clavier)
Bobby Keys (Saxophone)
Bernard Fowler (coeur)
Lisa Fischer (coeur)
Blondie Chaplin (guitare)
Tim Ries (saxophone)
Kent Smith (Trompette)
Michael Davies (Trombonne)


Set List:
1. Jumpin' Jack Flash
2. It's Only Rock 'n' Roll
3. Oh No, Not You Again
4. She's So Cold
5. Tumbling Dice
6. As tears Go By
7. Streets of Love
8. Midnight Rambler
9. Night time (Is The Right Time)
10. This Place Is Empty
11. Before They Make Me Run
12. Miss You
13. Rough Justice
14. Start Me Up.
15. Honky Tonk Women
16. Sympathy For The devil
17. Paint It Black
18. Brown Sugar


Rappel:

19. You Can't Always Get What You Want
20. Satisfaction

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